Archive dans 14/12/2020

Estimer un bien immobilier : les principaux critères à retenir

La réussite d’un projet peut dépendre entièrement de l’estimation d’un bien immobilier. Ce dernier est tout simplement unique et que sa valeur ne doit pas être définie au simple coup d’œil. En effet, plusieurs critères sont à prendre en compte lors de l’estimation. Il faut absolument considérer tout ce qui peut être nécessaire pour bien évaluer le prix de son bien afin de proposer le prix juste.

L’état du bien en général, un des critères les plus importants

Ce critère concerne en premier lieu l’environnement du bien immobilier, à commencer par sa localisation. L’adresse du bien à estimer peut influer largement son prix lors de l’évaluation effectuée par un expert. Un appartement en plein centre-ville proche de toutes commodités présente un prix bien différent d’un bien similaire qui se situe à la campagne. En parlant de commodités, la proximité avec les espaces verts, les commerces du quartier, les écoles et les services administratifs représente un véritable atout lors de l’estimation. Pour en savoir plus, il est recommandé de consulter les avis et le forum sur deltaplac.com.
L’état de l’immeuble, notamment pour les appartements, constitue également un autre critère à privilégier lors de l’estimation d’un bien immobilier. Si le logement se trouve dans un milieu hostile et délabré, les visiteurs intéressés feront sûrement machine arrière avant même d’avoir franchi la porte. Autrement dit, l’état de l’immeuble auquel on a envie de mettre à la vente doit être impeccable parce que cela permet de juger des frais à prévoir, à part le prix d’achat : entretien des ascenseurs, réfection des parties communes, ravalement de la façade et bien d’autres.

Les différentes caractéristiques propres à son bien

L’autre point à ne pas prendre à la légère lors de l’estimation d’un bien concerne les diverses caractéristiques propres à son immeuble. Il ne faut pas du tout omettre un élément important qui peut faire la différence avec un autre bien. Pour avoir une idée, cette liste non exhaustive permet bien évaluer sa maison ou son appartement :

  • La superficie : la valeur du bien augmente en fonction de sa surface ;
  • L’état général du bien : s’il a fait récemment l’objet d’une rénovation, le montant des travaux peut être calculé dans son prix. À l’inverse, si des travaux sont à prévoir, il faut diminuer le prix de vente afin de permettre à l’acquéreur de les financer ;
  • Le nombre de pièces disponibles dans l’immeuble : ceci concerne surtout les pièces de moins de 30 m² et de plus de 9 m². Il est à savoir que les pièces d’eau et la cuisine ne sont pas prises en compte par cette estimation ;
  • La présence d’un espace extérieur ; ce critère représente un atout important dans la décision d’achat.
  • L’orientation du bien : la vue et l’ensoleillement constituent de véritables surplus qui feront sûrement la différence lors de l’estimation d’un bien immobilier. Par exemple, une double orientation permet de faire gagner +5 % sur la valeur générale du bien.

Enfin, il ne faut pas oublier également que le diagnostic de performances énergétiques est de plus en plus considéré dans les critères de choix des acquéreurs. Alors, il vaut mieux apporter à son bien une excellente étiquette énergétique afin de faire grimper sa valeur.

Les options de gestion de copropriété sans syndic professionnel

syndic professionnel

Grâce à l’autorisation de copropriété, être élu syndic en assemblée générale impose l’exécution des tâches de gestion et de comptabilité. Il doit aussi assurer un bon entretien de l’immeuble. Par conséquent, il joue un rôle central dans la gestion des bâtiments. Cela dit, certains événements peuvent entraîner l’échec de l’ayant droit. Une copropriété peut-elle ne pas avoir un administrateur ? La loi autorise-t-elle un groupe à gérer la copropriété sans syndic ? Comment agir sans gestionnaire de copropriété ?

Les différents cas de copropriété sans syndic

Plusieurs situations peuvent entraîner l’absence d’un administrateur de copropriété, à savoir :

  • Absence d’accord lors de l’assemblée générale des actionnaires : le syndic doit être élu à la majorité absolue de tous les copropriétaires. Cette exigence légale impose un consensus parfois difficile à atteindre ;
  • Faiblesse du mandataire élu : En cas de décès, de maladie ou d’accident grave, l’agence de gestion ne peut plus exercer ses fonctions ;
  • Pas de renouvellement : la nomination du fiduciaire ne peut être acquiescée. Après la fin du mandat ou la démission, si l’assemblée générale des actionnaires n’est pas régulièrement tenue pour désigner un successeur, la copropriété sera confrontée à un manque de fiduciaires. Il en est de même dans les cas où le syndic professionnel est révoqué, invalidé ou en faillite.

Dans ces situations, la copropriété doit réagir rapidement pour s’assurer que la gestion de l’immeuble est maintenue. Gestion-bcj.be dispose à son actif un parcours satisfaisant en tant que syndic professionnel.

Les actions à faire face à l’absence de syndic

La loi Macron du 6 août 2015 peut corriger le délicat manque de syndics : tout copropriétaire peut convoquer une assemblée générale des actionnaires pour désigner un copropriétaire gérant. En l’absence de majorité, il n’y a qu’une seule issue pour la copropriété : toute partie intéressée peut saisir le tribunal local pour désigner un administrateur provisoire. L’administrateur provisoire convoque une nouvelle assemblée générale des actionnaires jusqu’à ce que le syndic soit nommé.

Le choix d’une autre catégorie de syndic

L’appartement ne peut pas être géré sans un syndic. Que faire lorsque les copropriétaires ne sont pas satisfaits de la gestion du syndic professionnel ? Si le coût encouru est trop élevé, comment le petit appartement réagira-t-il ? L’alternative aux syndics professionnels est : les syndics volontaires. Ce choix est avantageux financièrement. Il permet également aux copropriétaires de se rapprocher le plus possible de la gestion de leurs immeubles.

La désignation d’un syndic bénévole

La loi permet aux copropriétaires de choisir un syndic parmi eux. C’est ce qu’on appelle un syndic volontaire. Attention : contrairement à ce que son nom suggère, des syndics volontaires ont été payés. Un gestionnaire immobilier volontaire sélectionné par l’assemblée générale des actionnaires parmi les copropriétaires est un choix favorable :

Réduire le coût de gestion de la copropriété : la rémunération des gestionnaires immobiliers volontaires est bien inférieure à celle des professionnels ;

 

Une meilleure autonomie et une plus grande réactivité dans la prise de décision : Le gestionnaire immobilier bénévole lui-même est le copropriétaire, est au cœur de la problématique du bâtiment et peut gérer plus vite et mieux. Remarque : les responsabilités d’un syndic bénévole nécessitent une disponibilité et des compétences organisationnelles.

Prêt hypothécaire : quelle durée ?

La durée de remboursement d’un prêt hypothécaire a un impact direct sur le montant des mensualités à payer et sur le coût total de l’emprunt. Aujourd’hui, un crédit peut se remanier à l’envie tout au long du remboursement hypothécaire. Toutes les durées de prêt hypothécaire sont possibles et extensibles. Elles peuvent aller de 5 ans et vont facilement jusqu’à 40 ans, d’autres durées n’ont pas de fin.

Comment estimer la durée de son prêt hypothécaire ?

Pour bien établir la durée de prêt avant de s’engager, il est important de mettre en compte les éléments suivants : le taux immobilier, l’assurance de prêt, le taux d’endettement, le coût de crédit, la situation familiale, professionnelle et les moyens financiers. Il est à savoir que la meilleure durée de prêt est unique. Tout dépend essentiellement de la situation et des capacités de remboursement.

La durée optimale d’un prêt est celle qui permet de rembourser l’emprunt dans les meilleurs temps, sans pour autant se mettre dans une position délicate. Si le seuil d’endettement est inférieur à 33 %, il est préférable de demander un prêt total. En effet, il convient de dire, généralement, qu’un bon prêt ne doit pas soumettre à un taux d’endettement supérieur à 33 %.

Néanmoins, il est important de savoir que plus la durée de remboursement est longue, plus on paye d’intérêt. Et plus la période de remboursement est longue, plus la charge que représente l’assurance du solde restant dû sera élevée.

Les astuces pour bien choisir la durée son prêt hypothécaire

Désormais, les banques considèrent comme « classiques » les durées de prêt comprises entre 15 et 25 ans. Généralement, elles font correspondre les taux à une fourchette de durée. Le taux sera le même pour des prêts courants sur une durée de 15 à 19 ans et même chose entre 20 et 40 ans.

Les prêts d’une durée plus longue, au-delà de 25 ans, feront l’objet d’une analyse particulière qui prendra en compte les critères plus larges. Plus le crédit accordé durera dans le temps, plus les banques voudront avoir des garantis.

Les prêts sur une période de plus de 40 ans sont majorés de 0,30 % à 0,60 %. Car du point de vue de la banque, plus un emprunt est risqué, moins il a de chance d’arriver à terme. Il faudrait penser au rachat de crédit immobilier et enfin, opter pour la délégation d’assurance de prêt immobilier.

3 moyens pour régler et gérer les litiges dans une copropriété

litiges dans une copropriété

Les hostilités et les controverses sont inévitables en copropriété. Les règlements ainsi que l’usage des parties communes ainsi que des parties privatives peuvent mener facilement à un litige. Cela est dû par l’interprétation personnelle de ces notions. Néanmoins, ils peuvent se régler de différentes manières, mais les plus efficaces sont : la médiation ; les actions collectives et les actions personnelles. Zoom sur ces trois moyens pratiques de gérer un conflit.

Option n° 1 : la médiation ou le règlement à l’amiable

Certains individus ont l’habitude de porter une divergence d’opinions devant un juge, qui n’est pas réellement nécessaire dans le cas d’une copropriété. Cette situation va tout simplement aggraver la situation déjà tendue. En plus, les procès peuvent perdurer dans le temps et coûter une petite fortune. D’où la nécessité de passer par la médiation.

Tout d’abord, trouver un bon syndic d’immeuble pour faire respecter le règlement. Ce dernier lancera une lettre de mise en demeure de 30 jours pour permettre au copropriétaire de normaliser sa situation. Si cette première étape est un échec, il faut prendre le temps de faire appel à un médiateur pour engager une discussion volontaire entre les deux parties afin de détecter un consensus raisonnable.

D’ailleurs, le conciliateur fera tout pour le dialogue reste sain et que le compromis soit favorable à tous. Un bon médiateur se déniche auprès d’un avocat ou des associations spécialisées dans le domaine.

Option n° 2 : les actions collectives

Généralement, le syndic a l’obligation de faire respecter les droits de la copropriété en agissant en son nom devant les autorités. Cela dit, ce dernier détient réglementairement une obligation de moyen. Il doit agir en tant que défendeur et requérant lorsqu’un litige se présente dans son immeuble.

Le syndic doit obtenir au préalable l’aval de l’assemblée générale des copropriétaires avant d’entamer une quelconque action judiciaire, sauf pour les cas exceptionnels suivants :

  • Le recouvrement des charges ;
  • La saisie d’un compte sauf celui d’un lot en vente ;
  • La requête pour des mesures conservatoires ;
  • La défense du syndic lorsqu’il se fait attaquer collectivement par les copropriétés.

Option n° 3 : les actions personnelles

Suivant le type de conflit, le copropriétaire peut mener une action à titre personnel. Ce choix s’adopte si le concerné se sent exclus d’une décision de l’assemblée générale, ou victime des agitations du voisinage comme les nuisances sonores, de dégâts des eaux ou de préjudice au droit de propriété.

Une démarche votée en assemblée peut se contester si l’individu s’est opposé à la décision prise au moment de la réunion. Le recours en justice peut se justifier par l’opposition à engager des travaux essentiels dans l’objectif de conserver le bâtiment par exemple. Une action en référé est d’autant plus possible même si le syndic d’immeuble a déjà lancé une requête.

D’autre part, l’intéressé peut avoir recours à une action en justice à titre personnel si le syndic refuse cette démarche. Il peut également poursuivre l’association dans le cas d’un non-respect du règlement de copropriété ou les problèmes de maintenance des parties communes, mais également une intervention déplacée sur les parties privatives de la copropriétaire.

Comment faire estimer la valeur réelle d’un bien ?

estimer la valeur réelle d’un bien

Il est crucial de réaliser une estimation précise d’un bien immobilier dans le cadre d’une vente. Pour réussir l’opération dans les meilleures conditions, il importe de présenter le bien au juste prix. En d’autres termes, le surévaluer ou le sous-estimer n’est en aucun cas une solution pour réaliser une bonne affaire. Pour arriver à fixer le prix convenable, il faut tenir compte de certains points.

Retenir que chaque bien a ses spécificités

Avant de voir les méthodes possibles pour l’estimation d’un bien immobilier, il faut savoir que chaque bien est unique et nécessite une étude précise. Vous pouvez évaluer votre bien avec un expert immobilier ou privilégier les sites proposant des simulateurs en ligne. Ces derniers vous permettront d’avoir une première idée des prix pratiqués dans un secteur donné. Toutefois, la connaissance de la moyenne globale de prix au mètre carré ou le prix moyen de vente d’un logement ne suffit pas pour obtenir une estimation plus précise. En effet, un bien est spécifique, ne serait-ce que par son emplacement. De même, deux appartements similaires dans une copropriété n’ont pas exactement la même orientation ou exposition. Autrement dit, plusieurs critères entrent en compte lorsqu’on établit la véritable valeur d’un bien.

Pour ne rien oublier lors de l’étude du prix, il est judicieux de s’adresser à un professionnel qui peut accéder facilement à des informations sur les anciennes ventes pratiquées dans le secteur concerné.

Les méthodes pratiques pour faire évaluer le prix d’un bien

De nombreux sites spécialisés dans l’immobilier proposent des simulateurs en ligne gratuits depuis l’arrivée d’internet. La majorité de ces sites disposent de bases de données qui rassemblent de nombreuses informations sur les opérations réalisées récemment. Vendeur et acheteur peuvent donc y voir une fourchette de prix. Sachez que plus les ventes similaires sont nombreuses, et plus l’évaluation sera précise.

Il existe également un autre moyen pratique d’évaluer avec plus de précision la valeur d’un bien immobilier. Il s’agit des estimations des notaires, qui sont jugées plus fiables. Ces officiers publics sont ceux qui enregistrent et officialisent les transactions immobilières. En effet, ce sont les notaires qui se chargent de la récupération des taxes immobilières sur un achat, et ce, pour le compte de l’État. Ils sont donc les mieux placés pour vous fournir des informations précises sur la valeur réelle de votre bien ou celui dont vous convoitez. En ce qui concerne la réalisation de l’expertise, celle-ci peut se faire de deux manières. La première méthode consiste au notaire à vous délivrer un certificat d’expertise ou un avis de valeur. L’estimation s’effectue donc par une méthode excluant tout audit du bien. La seconde méthode implique le notaire à étudier précisément la valeur vénale du logement à travers une expertise détaillée.

Autres conseils

L’état général du logement a son importance dans la valeur de celui-ci. Gardez donc en tête que tous les composants du bien peuvent impacter sur l’évaluation. Prenez donc la peine de considérer, entre autres, l’isolation, l’installation électrique, les revêtements, le système de chauffage… C’est après avoir étudié ces éléments qu’il faut procéder à la comparaison avec les données du marché.

L’importance de l’estimation d’un bien immobilier

achat terrain

Pour réussir dans la vente d’un immobilier, estimer la valeur du bien est une étape importante et indispensable pour le vendeur. Cette opération permet de vendre dans les meilleures conditions en matière de délais et de négociation. Cette estimation vous permet de voir la potentialité du bien en tenant compte du marché et de sa situation actuelle. S’il est non estimé, vous devez attendre plus de temps pour qu’il soit vendu. Vous allez découvrir à travers les lignes qui vont suivre, les avantages de cette option sur les ventes.

L’estimation en ligne

Depuis des années, le nombre de sites d’estimations immobilières augmente petit-à-petit. Ils nécessitent des bases de données liées sur les ventes que vous avez réalisées. Ils vous permettent d’avoir une fourchette fixe sur le prix adéquat du logement. Vous avez par exemple Drimki ou engelvoelkers.com/fr-be/ qui sont des sites d’estimation qui vous permettent d’évaluer gratuitement la valeur de votre bien. Il faut savoir qu’ils prennent compte du secteur où le logement est situé. Plus il se trouve dans une ville ou une région ayant fait des ventes similaires, plus les évaluations sont précises.

La reconnaissance de la valeur du bien

Il faut savoir que chaque bien a sa propre particularité et l’estimation permet de mettre un accent sur ce point. Il ne suffit pas de donner un prix en fonction des mètres carrés ou de trouver un prix moyen d’une maison. Estimer un bien immobilier tient compte de l’emplacement de ce dernier, l’orientation, le nombre de pièces et d’autres critères encore. Si vous choisissez de le faire auprès des agences immobilières, votre dossier sera entre de bonnes mains. Ce sont des professionnels qui ont les expériences appropriées pour évaluer les biens. Ils ont également les informations importantes sur le marché immobilier dans le secteur où il se trouve.

La rapidité de vente

Plusieurs propriétaires qui souhaitent vendre leurs biens ont aujourd’hui du mal à trouver des acheteurs potentiels. Ceci est généralement dû au fait que le prix est en dessus de ce qu’ils espèrent et ils deviennent retissant face à l’offre. En faisant une estimation, vous avez un prix adapté au marché et qui attire plus l’attention  des acheteurs. Grâce à cela, le bien sera vendu plus rapidement que la vente précédente.

Le compromis

Faire une estimation est une solution avantageuse principalement au vendeur car il fait un compromis entre le prix de vente qu’il a fixé par lui-même et le prix fixé par l’acheteur. Dans ce genre de situation, le vendeur veut faire une plus-value au bien tandis que l’acquéreur veut acheter avec un prix avantageux ou bas que celui du marché. Les professionnels trouveront alors le juste milieu en se basant sur les points caractéristiques du logement pour permettre aux deux parties de profiter d’un prix dit acceptable.

Si vous avez un projet de vendre un bien immobilier, vous savez désormais ce que vous devez faire avant de le mettre en vente. Vous avez pu voir dans cet article, les différents avantages d’estimer votre bien avec les personnes et les sites qui peuvent vous aider dans cette quête.

Construction : savoir distinguer travaux de parachèvement et travaux de finition

construction maison

Quand il est question de parachèvement de chantier, il est question d’une nouvelle vie pour votre maison. Les travaux de parachèvement représentent à peu près 25% de votre budget de rénovation globale.

Tout comme les travaux de finition, cela indique surtout que la fin de votre chantier est proche. À bien des égards, le parachèvement et la finition peuvent se ressembler. Pourtant, il existe une certaine nuance entre ces deux étapes des travaux de construction.

Qu’est-ce que le parachèvement ?

Le parachèvement c’est tout ce qui regroupe les étapes de finition d’un chantier. C’est la phase qui permet d’accorder les détails et de savoir si le cahier des charges du client est bien respecté. Avec l’entreprise de parachèvement BPT Online, vous avez droit à une prestation de qualité. Le but d’un travail de parachèvement étant de donner entière satisfaction au client. Le parachèvement c’est la touche finale à la construction, celle durant laquelle la société de construction cherche un rendu parfait pour le client.

C’est durant cette phase que les entrepreneurs procèdent à l’installation des cloisons, le plafonnage et les revêtements de sols. Le parachèvement se passe toujours après la finition des travaux de gros œuvre. Qui plus est, c’est une étape primordiale pour le client. C’est durant le parachèvement que le client voit pour la première fois le résultat final de ses choix. Le rendu des couleurs sur les murs, le rendu des pièces.

Quelles différences avec les travaux de finition ?

Les travaux de finition englobent une liste non négligeable de travaux à accomplir. Il est surtout question de travaux d’isolation thermique et acoustique, les travaux de plomberie, les travaux d’électricités et de la menuiserie. Il est question ici de second œuvre, car cela n’impacte pas la solidité de la construction.

Ce sont donc des travaux qui permettent à la maison de disposer de toutes les commodités nécessaires pour la rendre vivable. Pour la réalisation de toutes ces tâches, il vous est possible d’appeler individuellement chaque corps de métier ou bien de faire appel directement à une entreprise qui regroupe toutes ces fonctions.

Deux travaux complémentaires

Une fois que la finition est faite, le parachèvement permet donc de parfaire l’ensemble des travaux. C’est une étape qui vise surtout à savoir si des non-conformités par rapport au contrat existent. Si tel est le cas, les travaux de parachèvement consistent à corriger et à adapter les rendus conformes à ce qui est écrit dans le cahier des charges.

La finition et le parachèvement sont donc les étapes ultimes de la construction d’un bâtiment. Car effectivement, la construction d’une maison ou d’un bâtiment suit trois étapes distinctes : le gros œuvre qui regroupe le terrassement, les fondations, les soubassements… Ce sont les travaux qui s’occupent de donner un « corps » solide à l’ouvrage. Ensuite il y a ce qu’on appelle le second œuvre : les travaux d’isolation, le cloisonnement intérieur, la plomberie et le système électrique.

Et en dernier lieu, il est question de finition et de parachèvement : finalisation des revêtements intérieurs, la pose des plinthes, les portes et les escaliers… À ce stade votre construction est presque achevée. Mais cette dernière étape prend autant de temps que la réalisation des gros œuvres. La patience est de mise.

Art de négocier un achat immobilier

achat immobilier

Vous êtes en pleine recherche immobilière ? La négociation de votre maison peut en effet s’avérer très délicate. Découvrez donc dans cet article nos meilleurs conseils pour faire pencher la balance en votre faveur.

Les armes d’une négociation réussie

Il va vous falloir de l’audace, du sang froid, de la persuasion et de la patience. Le bon mélange ainsi que le bon dosage de ces éléments feront parfaitement l’affaire pour vous accompagner dans votre négociation immobilière.

  • Il vous faut de l’audace : faites une proposition que vous pensez inacceptable pour déstabiliser votre vendeur. Ainsi, s’il vous juge crédible, il aura tendance à dévoiler son prix plancher au travers de sa contre-proposition. Vous êtes donc libre d’accepter ou encore d’avancer une deuxième proposition.
  • Il vous faut du sang froid : faites une proposition non négociable d’au minimum moins 20%, à prendre ou à laisser.
  • Il vous faut de la persuasion et de la patience : listez les éléments qui vont justifier votre proposition : mauvais bilan énergétique, environnement bruyant, étage élevé sans ascenseur, etc. Si ces remarques s’avèrent incontestables, il sera plus facile pour vous de faire vaciller les certitudes du vendeur. Il perdra confiance en la qualité de son bien et sera plus disposé à accepter l’estimation que vous faites.

Les étapes indispensables à une négociation immobilière

En raison de la délicatesse de l’étape de la négociation d’une maison, il vous faut vous préparer efficacement. Vous devez donc passer par trois étapes incontournables à savoir :

  • Vous appuyer sur votre budget
  • Connaitre le marché local et ses caractéristiques
  • Bien préparer vos arguments et concessions.

Une connaissance précise de votre budget

La première étape que vous devez faire pour une négociation immobilière consiste à connaître très précisément votre budget. Vous devez donc commencer par la définition précise de la limite budgétaire que vous ne devez pas dépasser. Pour ce faire, vous aurez donc à réfléchir à l’aspect financier de votre projet ainsi qu’à votre capacité d’emprunt. Vous devez savoir jusqu’où vous pouvez aller.

Une connaissance de l’état du marché immobilier

Avant de négocier le prix d’une maison, vous devez bien connaître le marché local avec ses caractéristiques. Ce n’est pas une tâche compliquée. Toutefois, vous avez la possibilité de solliciter les services d’un bon professionnel en la matière tel qu’un expert immobilier par exemple. N’hésitez pas à consulter le site cij.be.

Préparation des arguments et concessions

Dans le but d’inspirer confiance au vendeur, vous devez au préalable préparer tous vos arguments en avance. Ainsi, vous serez prêt à anticiper ses réticences. Vous devez aussi faire preuve de patience. C’est un argument de taille qui montrera au vendeur que vous êtes réfléchi et posé. Il arrive aussi que votre vendeur reçoive d’autres propositions d’achats, vous devez donc préparer vos arguments à l’avance et vous attendre à devoir accepter des concessions en contrepartie d’une baisse de prix. Vous avez par exemple la possibilité de proposer un compromis de vente sans conditions suspensives. Cela signifie que vous allez proposer au vendeur de diminuer le prix de vente en échange d’une signature inconditionnelle du contrat de vente. Cet est argument très efficace pour faire pencher la balance de votre côté.

Les clés d’un investissement immobilier réussi

En matière de placement financier, l’investissement immobilier figure parmi les placements les plus rentables. Vous désirez devenir un investisseur à succès mais vous ignorer complètement les rouages de cette opération ? Rassurez-vous car heureusement l’investissement immobilier n’est pas uniquement réservé aux connaisseurs. Néanmoins, il vous faudra faire preuve de beaucoup de patience et de ténacité en plus de suivre les bons conseils des experts qui livrent leur expérience. Découvrez donc tout ce qu’il faut savoir dans cet article pour réussir votre investissement immobilier.

Privilégiez la rentabilité de l’investissement immobilier

Vous devez garder à l’esprit que la rentabilité d’un investissement immobilier ne se résume pas à un simple calcul. Avant toute chose, il vous faut prendre en compte l’existence des facteurs qui sont garant d’une bonne rentabilité de votre investissement. Parmi ces facteurs figure son emplacement. Le principe est simple : s’il est bien situé, le placement immobilier reste toujours rentable. A titre d’illustration, bien investir en Floride peut vous être largement avantageux en raison de son attractivité. Vous devez donc vous demander la question la ville ou encore le quartier où dans lequel vous souhaitez vous lancer. Un secteur attractif se caractérise souvent par la présence d’une école ou d’une université, un bassin d’emploi et de commodité comme les transports à proximité par exemple. Ainsi, vous aurez juste à coupler ces données avec le type de bien immobilier que vous souhaitez mettre sur le marché.

Le caractère important de l’achat

Un bon investissement se négocie à l’achat. Vous devez donc à tout prix acheter en dessous des prix du marché afin de tirer à la hausse le taux de rendement et pour vous permettre de vous assurer une plus-value intéressante à la revente. Ainsi, si les prix du marché sont à la hausse au moment de la revente, ce sera bénéfique pour vous. Si au contraire les prix baissent, au moins vous êtes assuré de ne pas perdre votre mise de départ.

Il existe quelques méthodes tout à fait astucieuses afin de vous permettre d’acheter sous les prix du marché : vous devez savoir négocier, accepter de récupérer des biens avec défaut ou encore faire appel au service de bons experts. En effet, faire baisser les prix d’un investissement immobilier est justement le domaine de prédilection des professionnels immobiliers. Ils connaissent toutes les ficelles qui emmèneront à la réduction du prix d’achat. Ils savent aussi repérer les vendeurs pressés, les biens depuis trop longtemps sur le marché ainsi que ceux qui présentent des défauts corrigibles.

L’importance de miser sur l’investissement à haut rendement

Si vous chercher une rentabilité nette après impôts largement avantageuse (en général au-delà de la barre de 10%), vous devez donc utiliser cette tactique. Les investissements qui permettent un haut rendement concerne par exemple la location de courte durée ou location saisonnière. Le raison en est que plus on loue sur de courtes durées, plus les loyers perçus seront hauts. Aussi, vous devez aussi bien choisir votre bien immobilier ainsi que son emplacement. Il doit être situé en secteur touristique. Il vous suffit donc d’augmenter les loyers en haute saison afin d’exploser littéralement vos rentabilités locatives.

Le rôle de l’expert dans l’estimation immobilière

La valeur d’un bien est relative et dépend de plusieurs critères. Il est possible d’estimer un bien soi-même comme il est envisageable de faire appel à un expert. Encore faut-il comprendre en quoi l’intervention d’un professionnel est judicieuse.

A quoi consiste l’estimation

D’une manière générale, on détermine la valeur d’un bien quand on veut le vendre. En effet, en vente, il est important de connaître la valeur la plus juste du bien afin d’éviter le propriétaire de gonfler le prix ou à l’acquéreur de négocier un prix trop bas. Autrement dit, c’est trouver un terrain d’entente pour que chaque partie y gagne. En outre, proposer un prix juste permet de vendre le bien dans un délai correct soit de 82 à 90 jours en moyenne.

L’estimation de bien immobilier est également primordiale en cas d’achat, et même de location. Encore une fois, il est question de connaître la valeur du bien par rapport au marché et d’autres critères encore. Il en est de même en cas de demande de crédit immobilier ou d’un divorce. C’est aussi valable pour ajouter un bien à son patrimoine.

L’intérêt de faire appel à un expert

Comme mentionné, il est possible de réaliser l’estimation soi-même. Cependant, il est recommandé de contacter un expert. En effet, ce dernier est à l’affût de l’évolution du marché immobilier. De ce fait, il est plus à même à déterminer le prix le plus proche de l’exacte. D’autant plus qu’il y a plusieurs critères à tenir en compte lors de cette estimation. C’est le moyen le plus objectif pour un prix objectif.

Concernant ces critères, il s’agit des éléments qui font que le bien gagne ou perd en valeur. Cela inclut la situation géographique du bien et dont le quartier. On l’aura compris, c’est pour cela qu’il y a ce qu’on appelle quartier huppé et quartier coté. Outre cela, d’autres détails techniques font aussi la différence. Pour ne citer que l’orientation de la maison, son agencement, sa taille, etc.

Les professionnels de l’estimation immobilière

Pour estimer un bien, on peut contacter une agence immobilière. Sans surprise, ces agences ont l’expérience et l’expertise dans le domaine immobilier. Cependant, il est recommandé de bien choisir son agence et d’opter pour une agence dans la même zone géographique du bien à estimer. De même, il faut se méfier des agences qui gonflent l’estimation, car c’est juste un moyen pour elles de gagner un client.

Outre les agences, il y a aussi les experts immobiliers. Comme le nom l’indique, ils ont l’expertise pour le réaliser tout en tenant compte des critères essentiels. Sans oublier les géomètres qui proposent une estimation la plus proche de l’exacte. En effet, le géomètre se base sur des calculs techniques et ajoute à cela les paramètres relatifs au marché.

Toute somme, l’estimation immobilière est une étape importante dans la vente, achat ou location d’un bien. De ce fait, il est préférable de faire appel à des professionnels pour la réaliser. D’autant plus que le prix est un facteur décisif non-négligeable.