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Quels critères pour estimer une maison ?

estimer une maison

Avant de mettre une maison en vente, il est nécessaire de la faire estimer. L’estimation immobilière est une opération qui consiste à évaluer la valeur réelle d’un bien. Pour le faire, il faut prendre en compte plusieurs critères. Quels sont les différents critères pour estimer une maison ? La réponse dans la suite de cet article.

La localisation

Le premier critère pour estimer une maison, c’est la localisation. La valeur d’un bien dépend en grande partie de sa localisation. L’attractivité du quartier, la proximité des établissements scolaires, la proximité des transports, les services aux alentours… Ce sont autant d’éléments qui influencent le prix d’une maison.

Certaines communes sont plus prisées que d’autres. Les maisons qui se trouvent dans les quartiers proches des commodités du quotidien coûtent plus cher. Vous voulez estimer le prix de votre maison, avant de la mettre en vente ? N’hésitez pas à consulter le site https://www.simplissimmo.be/estimation-expert-immobilier-uccle.php.

La nature de la maison

Outre la localisation, la nature d’un bien est aussi importante pour faire une estimation. Avant de vendre votre maison, vous devez tenir compte de sa nature (superficie, nombre de pièces, nombre de chambres…etc.). De plus, une maison moderne n’aura pas le même prix qu’une maison traditionnelle.

La situation économique de la commune

La situation économique de la commune

La situation économique de la commune dans laquelle se trouve la maison à vendre peut jouer sur son prix de vente. Une ville qui connait un fort taux de chômage n’attire pas les acheteurs. Dans ce cas, le prix de la maison se verra diminuer.

Par contre, les acheteurs s’intéressent beaucoup plus aux villes dans lesquelles, les offres d’emplois sont nombreuses. Dans ces villes, les maisons coûtent cher.

L’estimation d’une maison doit d’abord passer par une étude sérieuse de la situation économique de la commune et aussi de l’emplacement du terrain.

L’état général de la maison

Pour estimer le prix  d’une maison, il faut aussi tenir compte de  son état général : l’état de la toiture, l’état des murs, l’état des plafonds… Il faut aussi vérifier l’installation électrique, la plomberie ou encore la chaudière. Généralement une maison à rénover coûte moins cher qu’une maison neuve.

La performance énergétique

La performance énergétique

La performance énergétique fait partie des critères essentiels pour estimer le prix d’une maison. Une maison avec un mauvais DPE coûtera moins cher qu’une maison avec un bon DPE. En fait, lorsque le logement a un mauvais DPE, les travaux de rénovation doivent être réalisés.

L’environnement immédiat

L’environnement joue aussi un rôle important dans l’estimation d’un bien immobilier. Pour estimer votre maison, vous devez prendre en compte la qualité des parties communes, le terrain et aussi les prestations supplémentaires (balcon, terrasse, piscine, internet à haut débit… etc.). Il faudra également tenir compte des différentes commodités.

Le prix des biens immobiliers dans votre quartier

Avant de faire une estimation de votre maison, vous devez d’abord vous renseigner sur le prix du marché dans votre quartier. Pour avoir une idée claire et précise de la valeur de votre maison, comparez son prix à celui des maisons similaires. Informez-vous sur le prix réel des maisons dans votre quartier. Dans votre annonce immobilière, n’hésitez pas à mettre en avant les différents atouts de votre maison.

Quelles sont les responsabilités d’un agent immobilier ? 

responsabilités d’un agent immobilier

L’agent immobilier est un professionnel du secteur immobilier. Il peut intervenir dans le cadre d’une vente ou d’une location. Il est également habileté à donner des conseils. Mais dans l’exercice de sa mission, il est tenu de respecter certaines obligations. Quelles sont les responsabilités d’un agent immobilier ? Cet article vous apporte la solution.  

La responsabilité de l’agent immobilier envers le propriétaire

La responsabilité de l’agent immobilier vis-à-vis du propriétaire est de trois ordres. 

  • La nécessité de bien exécuter sa mission

L’agent immobilier, à travers l’engagement qui le lie au propriétaire, à l’obligation de mener à bien sa mission. Il ne s’agit pas pour lui d’une obligation de résultat, mais de la mise en œuvre des moyens nécessaires pour arriver au résultat. C’est une obligation de moyen qui pèse donc sur lui. 

Ainsi, le propriétaire ne peut pas lui reprocher par exemple de n’avoir pas vendu ou loué la maison. Mais il pourrait lui reprocher de n’avoir pas tout mis en œuvre pour parvenir à ce résultat. 

La responsabilité de l’agent immobilier envers le propriétaire

  • Le respect des obligations contractuelles

Lorsqu’il existe un contrat écrit entre l’agent immobilier et le propriétaire, le professionnel est tenu de respecter les clauses du contrat. Autrement, sa responsabilité contractuelle pourra être engagée. Mais pour cela, il faut qu’il y ait une faute, un préjudice et un lien de causalité entre la faute et le préjudice. Toutefois, en cas de force majeure, sa responsabilité ne peut nullement être engagée. 

  • La réalisation des actes juridiques conformes à la loi

L’agent immobilier dans l’exécution de sa mission pourrait être amené à poser des actes juridiques. Ces actes doivent être juridiquement valables. En cas d’irrégularité, sa responsabilité pourra être engagée. 

Nous vous recommandons vivement de visiter le site https://revimmo.be pour en savoir plus.

La responsabilité de l’agent immobilier vis-à-vis de l’acheteur ou du locataire

La mission de l’agent immobilier peut consister à vendre un immeuble ou à le louer. L’un ou l’autre des cas, il a des obligations aussi bien par rapport à l’acquéreur que par rapport au locataire. 

Ainsi, en cas de dépassement de pouvoir, en cas de commission d’un délit ou encore en cas de non-respect de son rôle de conseil, sa responsabilité peut être mise en jeu. 

L’agent immobilier engage sa responsabilité délictuelle lorsqu’il commet un délit résultant d’une faute intentionnelle. Lorsqu’il commet également un quasi-délit qui résulte d’une faute non intentionnelle, sa responsabilité est également engagée. Mais il faudrait que l’acheteur ou le locataire ait subi un préjudice. 

Par ailleurs, son devoir de conseil l’oblige à communiquer toutes les informations au locataire ou à l’acheteur. Il est redevable de cette obligation envers le propriétaire également. Lorsqu’il ne satisfait pas à cette exigence, sa responsabilité peut également être engagée. 

L’obligation de respecter les exigences de la profession d’agent immobilier

Pour finir, il est tenu de se limiter aux pouvoirs qui lui sont conférés par le mandat. Lorsqu’il dépasse ces pouvoirs en posant certains actes juridiques, sa responsabilité peut être engagée. 

L’obligation de respecter les exigences de la profession d’agent immobilier

La profession d’agent immobilier est un secteur réglementé. Ainsi, le non-respect de certaines règles qui régissent la fonction peut entrainer des sanctions. À cet effet, lorsque l’agent immobilier ne respecte pas certaines exigences du métier, sa responsabilité pénale peut être engagée. C’est le cas lorsqu’il se rend par exemple coupable de publicité mensongère dans la réalisation des annonces. 

L’agent immobilier doit également respecter les exigences qui lui sont faites par rapport à sa rémunération. Ainsi, ce n’est que sur la base d’un mandat écrit et d’un acte de vente ou de location que le professionnel pourra prétendre à une quelconque rémunération. Le non-respect de cette exigence engage également sa responsabilité pénale. 

Par ailleurs, l’agent immobilier ne doit pas se donner à des pratiques d’escroquerie, de détournement de fonds ou encore des pratiques d’abus de confiance dans l’exécution de sa mission. 

Comment choisir le bon expert immobilier ?

Comment choisir le bon expert immobilier ?

Un expert immobilier est un professionnel qui a la capacité de réaliser une étude pointue et d’estimer un bien. Il s’agit d’estimer la valeur vénale d’un bien immobilier en considérant un grand nombre de facteurs et de données. Avant l’achat ou la vente d’un bien immobilier, pour les taxes ou pour toute autre raison, le recours à ce professionnel est utile. Si vous vous demandez comment choisir le bon expert immobilier, voici quelques méthodes qui pourront vous aider dans votre choix.

Vérifier sa réputation

Pour être sûr de la fiabilité d’un expert immobilier, il est impératif de vérifier son diplôme. Vous devez connaître ses références et être attentif quant à sa réputation.

L’importance du diplôme

Bien que ce métier ne soit pas agréé, opter pour un expert immobilier diplômé est une assurance que l’expertise soit élaborée avec plus de justesse possible. C’est aussi une garantie que l’expertise soit établie en respectant le code d’indépendance, mais aussi de déontologie impartiale.

Quant à la qualification de l’expert, il suffit de regarder au-delà de la simple marque pour s’assurer qu’il s’agit d’un vrai professionnel. Il doit disposer des diplômes reconnus et posséder toutes les connaissances requises pour accomplir la tâche à lui confier.

L’expert immobilier doit nécessairement être indépendant et neutre pour assurer un résultat intègre. Il ne doit mener aucune autre activité ou avoir un conflit d’intérêts qui pourrait remettre en cause son entière indépendance.

Les références et la réputation

Si l’expert est présent sur internet, comme celui que vous découvrirez en consultant ce site https://www.emi-expertimmobilier.be/expert-immobilier-agree-waterloo.php, prenez en compte les avis de ses anciens clients. Il faut aussi lui demander quelques renseignements. Vous pouvez par exemple demander au cabinet de vous fournir son certificat en responsabilité civile pour sa fonction d’évaluateur.

Les assurances acceptent d’assurer les spécialistes après contrôle des compétences, titres ou diplômes obtenus. Si votre expert n’en a pas ou tarde à vous le délivrer, tournez-vous vers un autre. En outre, il faut également s’assurer qu’à l’issue de l’analyse, un rapport d’expertise portant la signature et le cachet du cabinet sera délivré.

De plus, au cours de ses déplacements pour évaluer un bien, l’expert doit avoir un appareil pour enregistrer ses interventions. Les films constitueront des preuves en cas de conflit.

N’hésitez pas aussi à lui demander son nombre d’années d’expérience. Car il est préférable de recourir à un expert qui a plusieurs années d’activités plutôt qu’un professionnel débutant. Si son entreprise a su tenir debout plusieurs décennies, c’est la preuve qu’il a toujours des clients, donc peut avoir une bonne réputation.

Bien regarder l’offre et les garanties associées

Pour choisir un expert immobilier, il faut bien regarder l’offre de ce dernier. L’offre de l’expert immobilier pour être crédible doit être forfaitaire et bien détaillée.

Généralement, la mission d’un professionnel immobilier se passe en trois temps. Il s’agit de la visite du bien immobilier à évaluer, faire des recherches documentaires et rendre un rapport d’expertise. Ce dernier contient notamment les conditions de la demande à savoir un divorce, une succession, une déclaration fiscale, une vente, ou autre.

Dans le rapport d’expertise, doivent aussi figurer le descriptif complet du bien, ses caractéristiques aussi bien qualitatives que qualitatives, l’explication des techniques employées. À tout cela s’ajoutent les servitudes possibles, les références de valeurs employées et l’estimation de valeur. Tous ces paramètres doivent être inclus dans une seule et même offre, de cette façon il n’y aurait pas de déconvenues en ce qui concerne le coût des prestations.

Vous savez à présent comment procéder pour choisir le bon expert immobilier.

Comment dénicher un expert pour réaliser un état des lieux ?

Comment dénicher un expert pour réaliser un état des lieux ?

Avant de signer un contrat, il est impératif d’effectuer un état des lieux d’entrée et un état des lieux de sorties. Pourtant, cette démarche ne se déroule pas souvent comme prévu parce que des éventuels litiges peuvent toujours opposer propriétaire et locataire. C’est pour cette raison qu’il est recommandé de faire appel à un professionnel afin de fixer une entente entre les parties. Mais où peut-on trouver un expert judiciaire immobilier pour effectuer un état des lieux conforme aux réglementations en vigueur ?

Qu’est-ce qu’un état des lieux et pourquoi doit-on le réaliser ?

Lors d’une location d’habitation, l’état des lieux est une étape à faire absolument, au même titre qu’un bail. Une fois signé, ce dernier doit disposer en annexe d’un état des lieux d’entrée. Il s’agit donc d’une démarche importante à ne pas négliger si on vient de louer un bien immobilier. Pour être valide, il doit être réalisé dans les règles de l’art. L’idéal est de le faire avant l’entrée dans le nouveau logement, lors de la signature du bail.

Pour être validé, ce document doit répondre à trois facteurs essentiels :

  • Le détail : un état des lieux est un document qui ne s’improvise pas. Donc, il ne doit pas être rédigé à la hâte, sinon il risque de n’être d’aucune utilité. Il faut qu’il soit très précis et bien construit afin d’éviter d’être soumis à des interprétations. Des informations supplémentaires sont disponibles sur https://www.immonp.be/ pour mieux comprendre cette démarche. Même s’il est possible de réaliser soi-même des états des lieux, ceux-ci peuvent être tout simplement génériques et non exhaustifs. Pourtant, chaque état des lieux doit comprendre des particularités que seul un expert est capable de le réaliser correctement ;
  • La présence des deux parties : cela explique que l’état des lieux doit être contradictoire. Lors de cette phase, le locataire et le bailleur peuvent être représentés, de préférence par un expert qui sera mandaté par les deux parties ;
  • Être « à frais communs » : le prix de l’état des lieux effectué par un expert immobilier devrait être divisé en deux. Ceci est à répartir à parts égales entre le locataire et le bailleur. Au cas où les deux parties ne parviendraient pas à trouver une entente, elles ont le droit de solliciter un expert respectif.

Pour trouver ce spécialiste, ci-après se trouvent les conseils à suivre.

Les moyens sûrs pour dénicher un expert immobilier

Trouver un expert immobilier pour réaliser un état des lieux ne s’improvise pas. Ce professionnel doit être impartial et être mesure de détecter des failles qu’une personne normale ne peut pas découvrir. D’ailleurs, il est en charge d’établir un document clair et complet, qui est conforme à la législation. Pour mandater ce spécialiste, il est conseillé de s’adresser dans un cabinet d’expert judiciaire immobilier ou une agence d’expertise immobilière. On peut y dénicher le profil d’expert agréé capable d’établir un état des lieux répondant à ses attentes spécifiques et correspond aux normes en vigueur. Nommer un expert immobilier permet de limiter le risque d’interprétation ou de remise en cause future.

Visite virtuelle sur expertimmo : C’est quoi ?

Visite virtuelle sur expertimmo

Le monde de l’immobilier a connu un grand essor avec l’évolution de la technologie. Grâce à la visite virtuelle, peu importe l’emplacement de l’immobilier mis en vente qui vous a titillé, il est désormais possible de faire sa ou leurs visites sans bouger le petit doigt. Si vous désirez la vente de votre bien, la réalisation de la visite consiste simplement à approcher votre agence et le tour est joué. Cette prestation, en plus de vous permettre un gain de temps considérable, vous offre plusieurs options en sus.

Visite virtuelle : comment ça marche ?

Comme presque tous les domaines, l’univers de l’immobilier intègre également les nouvelles approches dernières cries. Quand on parle de virtuelle, on a affaire à des images 3D. Sa réalisation se base essentiellement sur les images du lieu qui seront ensuite matérialisées. Pour les obtenir, cette technique fait appel à un appareil professionnel. Le plus souvent, ce dernier est doté d’un objectif grand-angle muni d’un socle rotatif pour la prise de la photo en haute définition à 360°. À noter que cette qualité d’image peut être obtenu grâce à une tablette ou un smartphone, mais toujours en présence du socle rotatif. Ces images seront traitées et modélisées par des logiciels pour ensuite être visionnées en 3D sur des supports numériques. Ces étapes donneront à son interlocuteur l’impression d’être réellement sur les lieux. Pour une visite virtuelle de votre bien actuel, n’hésitez pas à visiter expertimmo.

Visite virtuelle : quel avantage offre-t-elle ?

C’est une technologie applicable à de nombreux domaines et qui s’avère être incontournable actuellement lors d’une transaction immobilière. Acheteur, vendeur et agent immobilier y sont mieux servis avec ce concept virtuel. En effet, les acheteurs peuvent se résumer à un seul rendez-vous chez son agence ou effectuent eux-mêmes la visite en ligne. À côté du gain de temps considérable, il est envisageable de visiter plusieurs logements en quelques minutes sans avoir à se rendre sur les lieux. Pour les vendeurs, la mise à disposition d’une visite continuelle est garantie. Nul besoin de fixer un rendez-vous avec un éventuel acquéreur, mais se contenter d’un seul avec l’agence le montage de la visite virtuelle. Les acquéreurs pourront consulter l’offre en ligne 24h/24 et 7j/7.  Les réalités virtuelles sont disponibles à tout instant pour les potentiels acheteurs.

Visite virtuelle : qui contacter ?

Bon nombre de prestataires proposent ce service à des coûts très concurrentiels. Ce sont des agences omniprésentes en ligne et qui offrent souvent des devis sans engagement et des conseils gratuits. Certaines peuvent même aller au-delà de la fourniture d’image à 360° en vous proposant d’évaluer la valeur vénale de votre bien toujours en rapport de sa visite physique sur les lieux. C’est la garantie de fournir aux potentiels acheteurs une image en parallèle avec un prix bien évalué et tout cela incluse dans une seule prestation. Il est évident qu’on ne vous recommande pas de réaliser vous-même la visite virtuelle de votre bien au risque de ne pas pouvoir mettre en avant le potentiel du bien ou d’ériger intentionnellement ces petits défauts.

Trouver un promoteur immobilier à Ittre : un choix déterminant

Ittre est une commune francophone de Belgique qui se trouve en Région wallonne, dans la province du Brabant wallon. Elle constitue un excellent choix pour investir dans la pierre. Mais avant d’aller plus loin, il est impératif de trouver un promoteur immobilier qui prendra en charge toutes les démarches nécessaires lors de l’achat d’un logement neuf. Voici les différents critères à prendre en compte pour trouver un bon promoteur immobilier. Cette étape s’avère essentielle parce que ce dernier sera son interlocuteur durant le processus d’investissement.

L’intérêt de privilégier un promoteur immobilier local

Entre un promoteur immobilier local et national, il existe réellement de nombreuses différences. Pour avoir une idée, le promoteur local connaît parfaitement la ville où se déroulera l’achat d’un logement neuf. Il a une expérience irréprochable de l’agglomération dans laquelle il exerce son activité et propose ses projets immobiliers neufs, appropriés à la ville et au marché. C’est pour cette raison que trouver un promoteur immobilier à Ittre ne devrait pas poser aucune difficulté aux investisseurs.

Le promoteur immobilier basé à Ittre est en mesure de proposer des biens et opportunités plus personnalisés. Il peut même accompagner son client sur son investissement, en fonction du secteur où il souhaite investir. Pour cela, il suffit de lui communiquer au préalable les caractéristiques du bien immobilier recherché, en adéquation avec son profil d’investisseur et ses véritables attentes. En somme, un promoteur immobilier local propose à sa clientèle toute son expertise pour les accompagner et les conseiller dans leur choix de projets immobiliers neufs et de biens de qualité.

Les différentes responsabilités d’un promoteur immobilier

Le promoteur immobilier peut être une personne physique comme une personne morale. Cela dit, il existe des entreprises de promotion immobilière qui disposent d’une équipe professionnelle prête à intervenir en cas de besoin. Ce type de métier exige une grande connaissance en montage de projets immobiliers. Donc, le promoteur doit avoir des compétences pointues dans plusieurs domaines, à commencer par l’identification du besoin du marché local. Ensuite, il envisage le projet immobilier et chapeaute l’ensemble des opérations de construction jusqu’à la livraison du bien aux futurs occupants ou bailleurs.

La mission d’un promoteur immobilier varie en fonction de la demande d’un investisseur. La construction de logements représente une part importante de l’activité de promotion immobilière. Cette démarche concerne généralement de grands projets comme la création de lotissements ou d’immeubles. Toutefois, le promoteur immobilier peut également intervenir lors de la construction d’une maison individuelle. Souvent, il peut aussi prendre en charge des travaux de réhabilitation ou de remise aux normes. Cela concerne surtout le réaménagement de logements collectifs ou la transformation de bâtiments existants.

Un métier sous deux casquettes différentes

Le promoteur immobilier est à ne pas confondre avec le promoteur foncier qui vend des terrains prêts à bâtir. Il se spécialise surtout dans la vente de biens construits et peut présenter son projet sous deux casquettes différentes. Tout d’abord, le promoteur immobilier peut agir en tant que maître d’ouvrage. Cela signifie que le projet est de sa propre initiative, donc il réalise l’ensemble du bien jusqu’à la remise des clefs.

Ensuite, il peut jouer le rôle d’un maître d’ouvrage délégué. Dans ce cas, il est tout simplement mandaté par un maître d’ouvrage par le biais d’un contrat de promotion immobilière (CPI). Lors de ce contexte, le maître de l’ouvrage trouve le financement, et c’est le promoteur immobilier (maître d’ouvrage délégué) qui se charge entièrement du reste du chantier.

Quelle est la durée du mandat de syndic de copropriété

La performance énergétique

Le contrat de mandat de syndic doit indiquer sa période et sa date d’entrée en vigueur (généralement la date de l’assemblée). Cette clause est généralement stipulée dans la résolution soumise au vote du représentant. Selon cette clause, lorsque l’assemblée adopte le budget annuel pour le prochain exercice, les tâches accomplies dans un certain laps de temps expirent. En d’autres termes, la période de mission se termine à l’expiration de la période du contrat. Si le syndic ne prend pas de mesures préventives pour convoquer la prochaine réunion au cours de son mandat, l’appel est totalement invalide. Mais combien de temps peut durer le mandat d’un syndic ?

La désignation du syndic de copropriété

Lors de l’assemblée générale, le syndic est nommé à la majorité absolue des copropriétaires. À défaut de désignation, la deuxième session de l’assemblée générale suit la désignation du syndic. Elle se fera à la majorité simple, c’est-à-dire par les copropriétaires présents ou représentés. Vous pouvez faire appel à syndic-giminne.be qui est une agence de référence dans l’immobilier.

Dans des circonstances appropriées, le syndic peut être nommé par le tribunal de grande instance. Ensuite, le nouveau syndic convoque une réunion finale pour enfin confirmer sa désignation. Un contrat approuvé par l’assemblée générale engage ici le syndic, et stipule le délai du mandataire, la date d’entrée en vigueur, les conditions d’exécution des tâches et la rémunération de ses membres.

Si certains copropriétaires déposent une plainte contre le syndic actuel, un nouveau syndic peut être nommé. Cela peut être fait de plusieurs manières. Cependant, la solution la plus simple est bien entendu d’attendre l’expiration de son mandat. Après une décision claire de l’assemblée générale, un nouveau mandataire peut être nommé.

La durée d’un mandat de syndic de copropriété

Normalement, la durée du mandat du syndic est de trois ans au maximum (par exemple, pour la conférence tenue le 24/01/2021, le contrat ne doit pas être postérieur au 24/01/2024). L’article 22 de la loi de 1967 le prévoit, mais rien ne permet de raccourcir le délai. Il peut être déterminé dans le règlement de copropriété ou en assemblée générale. Si la durée du mandat n’est pas fixée, les conseillers peuvent être révoqués par un vote majoritaire à l’article 25 à tout moment de l’assemblée générale, ou le consultant peut être révoqué par un vote majoritaire à l’article 24 lors du second vote.

En revanche, s’il est nommé par le président du tribunal de grande instance, le mandat est de plusieurs mois (6 à 8 mois).

Si le syndic participe directement ou indirectement à la construction du bâtiment, la période d’autorisation sera limitée à un an, et la garantie décennale se poursuivra. Cela ne fait pas obstacle au renouvellement du syndic chaque année.

La réalisation d’un état des lieux d’entrée pour une location

état des lieux d'entrée pour une location

Il est courant pour vous, le locataire et le propriétaire de vérifier ensemble les conditions du logement lors de la remise des clés. Cet état des lieux vous servira de point de comparaison lors de votre départ. En fait, à ce stade, un état des lieux de sortie doit être effectué pour déterminer les différences qui se sont produites entre les deux périodes. Mais comment bien réaliser un état des lieux d’entrée pour une location ?

Le contenu de l’état des lieux

L’arrêté du 30 mars 2016 établit une liste des informations qu’un état des lieux doit contenir. Décrivez le logement et indiquez son état de conservation. En plus de sa date de constitution, le type d’état des lieux (entrant ou sortant) doit figurer dans ce document.

Vous devez également mentionner l’emplacement de l’hébergement, le nom des parties et l’adresse du propriétaire et des représentants respectifs, le cas échéant.

D’autres éléments, tels que les lectures individuelles de la consommation d’énergie ou d’eau et des détails importants, devraient également être inclus dans un état des lieux d’entrée.

Pour chaque pièce ou partie de la maison, une description détaillée de l’état des revêtements de sol, murs et plafonds, de l’équipement et des composants de la maison doit être insérée dans ce document. Enfin, la signature des parties est obligatoire.

Les descriptions et les éléments factuels

Choisissez un style direct : il s’agit d’éviter autant que possible l’utilisation d’expressions subjectives ou vagues, telles que « en bon état », « légèrement dégradé » et autres. Le but est de permettre une comparaison objective entre l’état des lieux par un professionnel pour l’entrée et la sortie : une phrase comme « peindre un peu de pelage dans le coin supérieur gauche » sera plus utile que « état de la forme du tableau ». Plus vous êtes concret, plus vous évitez les litiges.

Les conséquences du manque d’état des lieux d’entrée

Ne pas faire l’état des lieux d’entrée est contraire à la loi et aux intérêts du bailleur. Si l’espace de vie se dégrade à la fin du contrat de location, vous devrez prouver que vous avez remis l’espace de vie en parfait état au début du contrat de location et que les dommages que vous réclamez ont été causés par le locataire. Ce qui sera difficile en bonne et en bonne forme sans inventaire officiel.

Si l’état des lieux n’a pas été fait parce que le locataire a refusé, le locataire est soumis aux mêmes risques. C’est-à-dire qu’en cas de conflit, en l’absence d’inventaire, le pouvoir judiciaire supposera que le locataire a reçu le logement en bon état. Si ce n’est pas le cas, le locataire doit prouver le contraire. Si aucun état des lieux n’a été effectué, négligence des deux parties, le locataire est présumé avoir reçu le bien en bon état.

Pour mieux comprendre l’inventaire du hall d’entrée et son achèvement, vous pouvez vous référer à un modèle. Vous trouverez plusieurs exemples de formulaires sur le Web. Tout ce que vous avez à faire est de choisir un article qui correspond exactement à votre situation ou de le personnaliser.

Estimer un bien immobilier : les principaux critères à retenir

La réussite d’un projet peut dépendre entièrement de l’estimation d’un bien immobilier. Ce dernier est tout simplement unique et que sa valeur ne doit pas être définie au simple coup d’œil. En effet, plusieurs critères sont à prendre en compte lors de l’estimation. Il faut absolument considérer tout ce qui peut être nécessaire pour bien évaluer le prix de son bien afin de proposer le prix juste.

L’état du bien en général, un des critères les plus importants

Ce critère concerne en premier lieu l’environnement du bien immobilier, à commencer par sa localisation. L’adresse du bien à estimer peut influer largement son prix lors de l’évaluation effectuée par un expert. Un appartement en plein centre-ville proche de toutes commodités présente un prix bien différent d’un bien similaire qui se situe à la campagne. En parlant de commodités, la proximité avec les espaces verts, les commerces du quartier, les écoles et les services administratifs représente un véritable atout lors de l’estimation. Pour en savoir plus, il est recommandé de consulter les avis et le forum sur deltaplac.com.
L’état de l’immeuble, notamment pour les appartements, constitue également un autre critère à privilégier lors de l’estimation d’un bien immobilier. Si le logement se trouve dans un milieu hostile et délabré, les visiteurs intéressés feront sûrement machine arrière avant même d’avoir franchi la porte. Autrement dit, l’état de l’immeuble auquel on a envie de mettre à la vente doit être impeccable parce que cela permet de juger des frais à prévoir, à part le prix d’achat : entretien des ascenseurs, réfection des parties communes, ravalement de la façade et bien d’autres.

Les différentes caractéristiques propres à son bien

L’autre point à ne pas prendre à la légère lors de l’estimation d’un bien concerne les diverses caractéristiques propres à son immeuble. Il ne faut pas du tout omettre un élément important qui peut faire la différence avec un autre bien. Pour avoir une idée, cette liste non exhaustive permet bien évaluer sa maison ou son appartement :

  • La superficie : la valeur du bien augmente en fonction de sa surface ;
  • L’état général du bien : s’il a fait récemment l’objet d’une rénovation, le montant des travaux peut être calculé dans son prix. À l’inverse, si des travaux sont à prévoir, il faut diminuer le prix de vente afin de permettre à l’acquéreur de les financer ;
  • Le nombre de pièces disponibles dans l’immeuble : ceci concerne surtout les pièces de moins de 30 m² et de plus de 9 m². Il est à savoir que les pièces d’eau et la cuisine ne sont pas prises en compte par cette estimation ;
  • La présence d’un espace extérieur ; ce critère représente un atout important dans la décision d’achat.
  • L’orientation du bien : la vue et l’ensoleillement constituent de véritables surplus qui feront sûrement la différence lors de l’estimation d’un bien immobilier. Par exemple, une double orientation permet de faire gagner +5 % sur la valeur générale du bien.

Enfin, il ne faut pas oublier également que le diagnostic de performances énergétiques est de plus en plus considéré dans les critères de choix des acquéreurs. Alors, il vaut mieux apporter à son bien une excellente étiquette énergétique afin de faire grimper sa valeur.

Les options de gestion de copropriété sans syndic professionnel

syndic professionnel

Grâce à l’autorisation de copropriété, être élu syndic en assemblée générale impose l’exécution des tâches de gestion et de comptabilité. Il doit aussi assurer un bon entretien de l’immeuble. Par conséquent, il joue un rôle central dans la gestion des bâtiments. Cela dit, certains événements peuvent entraîner l’échec de l’ayant droit. Une copropriété peut-elle ne pas avoir un administrateur ? La loi autorise-t-elle un groupe à gérer la copropriété sans syndic ? Comment agir sans gestionnaire de copropriété ?

Les différents cas de copropriété sans syndic

Plusieurs situations peuvent entraîner l’absence d’un administrateur de copropriété, à savoir :

  • Absence d’accord lors de l’assemblée générale des actionnaires : le syndic doit être élu à la majorité absolue de tous les copropriétaires. Cette exigence légale impose un consensus parfois difficile à atteindre ;
  • Faiblesse du mandataire élu : En cas de décès, de maladie ou d’accident grave, l’agence de gestion ne peut plus exercer ses fonctions ;
  • Pas de renouvellement : la nomination du fiduciaire ne peut être acquiescée. Après la fin du mandat ou la démission, si l’assemblée générale des actionnaires n’est pas régulièrement tenue pour désigner un successeur, la copropriété sera confrontée à un manque de fiduciaires. Il en est de même dans les cas où le syndic professionnel est révoqué, invalidé ou en faillite.

Dans ces situations, la copropriété doit réagir rapidement pour s’assurer que la gestion de l’immeuble est maintenue. Gestion-bcj.be dispose à son actif un parcours satisfaisant en tant que syndic professionnel.

Les actions à faire face à l’absence de syndic

La loi Macron du 6 août 2015 peut corriger le délicat manque de syndics : tout copropriétaire peut convoquer une assemblée générale des actionnaires pour désigner un copropriétaire gérant. En l’absence de majorité, il n’y a qu’une seule issue pour la copropriété : toute partie intéressée peut saisir le tribunal local pour désigner un administrateur provisoire. L’administrateur provisoire convoque une nouvelle assemblée générale des actionnaires jusqu’à ce que le syndic soit nommé.

Le choix d’une autre catégorie de syndic

L’appartement ne peut pas être géré sans un syndic. Que faire lorsque les copropriétaires ne sont pas satisfaits de la gestion du syndic professionnel ? Si le coût encouru est trop élevé, comment le petit appartement réagira-t-il ? L’alternative aux syndics professionnels est : les syndics volontaires. Ce choix est avantageux financièrement. Il permet également aux copropriétaires de se rapprocher le plus possible de la gestion de leurs immeubles.

La désignation d’un syndic bénévole

La loi permet aux copropriétaires de choisir un syndic parmi eux. C’est ce qu’on appelle un syndic volontaire. Attention : contrairement à ce que son nom suggère, des syndics volontaires ont été payés. Un gestionnaire immobilier volontaire sélectionné par l’assemblée générale des actionnaires parmi les copropriétaires est un choix favorable :

Réduire le coût de gestion de la copropriété : la rémunération des gestionnaires immobiliers volontaires est bien inférieure à celle des professionnels ;

 

Une meilleure autonomie et une plus grande réactivité dans la prise de décision : Le gestionnaire immobilier bénévole lui-même est le copropriétaire, est au cœur de la problématique du bâtiment et peut gérer plus vite et mieux. Remarque : les responsabilités d’un syndic bénévole nécessitent une disponibilité et des compétences organisationnelles.