Archive dans 15/04/2020

Crédit : les types d’organisme à choisir

Le choix est plus ou moins large en ce qui concerne les prêts bancaires. Cela revient au client de choisir l’organisme qui répond le plus à ses besoins. Aussi faut-il connaître ces organismes afin de pouvoir faire un choix, mais surtout de connaître ce qui leur différencie.

Les choix

Le plus classique et le plus connu de tous en termes de crédit, ce sont les banques traditionnelles. Il faut quand même retenir que les conditions et les offres peuvent être différentes d’une banque à une autre. C’est pour cela qu’il est fortement conseillé de se renseigner auprès de plusieurs banques et de faire des comparaisons. D’autant que les conditions ne sont pas les mêmes, tout autant que les besoins.

Outre les banques, on peut aussi demander auprès des établissements spécialisés. Ils sont plutôt souples, mais sélectifs en même temps. A vrai dire, ces établissements privilégient les personnes qui sont dans l’obligation d’emprunter suite à des problèmes comme un accident par exemple. Toutefois, pour leur assurance et garantie, ils exigent des hypothèques dans la plupart du temps. Pour en savoir plus, voir ici.

Il est aussi possible de s’adresser à un courtier qui va jouer l’intermédiaire entre l’organisme prêteur et le client. Ce qui est intéressant avec ce choix, c’est la possibilité de travailler avec des professionnels. On peut donc gagner du temps en termes de préparation de la demande. D’autant plus que le courtier est plus à même à suggérer des propositions et de servir de guide dans toutes les démarches.

Dans tous les cas, il est recommandé de bien se renseigner et d’écouter les avis des proches ou des amis qui ont déjà souscrits auprès d’un tel ou d’un tel organisme. D’autant plus que dans la majorité des cas, l’offre de la banque traditionnelle laisse à désirer sur certains objets du contrat.

Bien choisir l’organisme

En optant pour un établissement spécialisé autre que la banque, il faut faire attention aux offres frauduleuses comme les offres anormalement pas chères. Cela est surtout valable pour les souscriptions en ligne. Eviter de se précipiter et prendre le temps d’étudier l’offre surtout si l’établissement demande d’envoyer une somme d’argent pour la souscription. C’est pour cela qu’il est important de se renseigner sur ses droits et la procédure légale pour l’obtention d’un crédit.

Outre l’organisme, il est également important de prendre temps de bien choisir son crédit. Ceci dit, cela doit répondre aux besoins. La première étape à faire est donc, c’est de définir ces derniers afin de chercher au bon endroit et au bon moment son type de crédit. Pour cela, ne pas hésiter à demander plus de renseignements auprès du courtier ou de son banquier.

Enfin, on ne le répétera pas assez, mais il faut comparer les offres. On peut opter pour les comparateurs en ligne ou bien les bouches à oreille ou encore les avis des proches. Il faut aussi se méfier des enseignes que personne ne connaît. Au contraire, opter pour un organisme bien connu et officiel. Cela permet de limiter les risques d’arnaque.

Conseils pour réussir son investissement immobilier à Bruxelles

investissement locatif

Le marché immobilier belge est un secteur qui reste en général stable et rentable, même dans le cas où les marchés de bourses connaissent des difficultés et s’effondrent. Vous pouvez donc vous rassurer que l’investissement immobilier sera le placement d’argent garanti à long terme. Comment le réussir à Bruxelles ?

Opter pour le meilleur investissement sur le marché

L’étape primordiale pour la réussite d’un investissement immobilier est de choisir le meilleur placement ayant un objectif sur le long terme. On peut, par exemple, opter pour un achat et une revente ou encore une location. Par ailleurs, il faut savoir que s’investir sur un appartement classique est, par exemple, l’idéal pour un placement avec un objectif de 5 ans. Il est suivi de peu par une maison classique, puis des résidences secondaires en bord de mer ou en périphérie de la ville. Les maisons de repos ou les logements avec assistance figurent également parmi les meilleurs placements. Concernant le budget, les banques donnent souvent des pistes par rapport à la situation financière du futur investisseur.

Bien choisir le quartier pour réaliser le projet

Pour réussir ce projet à Bruxelles, il est très important d’investir intelligemment dans les quartiers en développement. Pour ce faire, le futur investisseur doit se baser sur le ciblage du quartier, mais aussi la définition du budget. Effectivement, il s’agit des éléments essentiels. Si son budget ne lui permet pas de choisir des quartiers prisés, il doit se renseigner sur d’autres quartiers qui peuvent se développer potentiellement et qui restent un bon rapport qualité/prix. D’ailleurs, il faut savoir que les biens que le futur investisseur peut acquérir dans ces quartiers sont moins chers à l’achat et peuvent engendrer une plus-value à la revente. Pour se faire accompagner par un professionnel, on peut, par exemple, se rendre sur Nesting-realty.

S’investir sur les achats neufs

Pour effectuer plus tard un investissement locatif, c’est-à-dire investir dans un immobilier et le mettre en location pour bénéficier des rentes, il vaut mieux opter pour un achat neuf. En effet, le principal avantage d’un bien neuf, c’est sa qualité énergétique. Les futurs locataires seront de plus en plus attirés, car les charges seront limitées et définies au préalable. On peut déduire que pour un investissement dans les bâtiments plus anciens, le prix d’achat est bas, toutefois en ce qui concernera le loyer, il sera moins élevé. Le rendement sera ainsi faible.

Apporter une garantie financière

Il faut noter qu’on n’arrivera pas à réussir un investissement immobilier si on ne sait pas apporter une garantie financière aux banques, ou si on n’arrive pas à bien gérer son argent. Pour que les établissements financiers puissent accorder le montant sollicité pour le projet, il s’avère être important que le futur investisseur dispose d’une épargne ou d’un patrimoine qui va servir de garantie. Effectivement, il convient de savoir qu’il n’est pas possible d’investir sans placer des fonds propres dans leur transaction. On peut donc dire qu’il est toujours important de se créer une situation financière propice au projet avant de se lancer.

Tout savoir sur le prêt immobilier conventionné

prêt immobilier

Le prêt conventionné ordinaire s’adresse au propriétaire souhaitant réaliser des travaux dans sa résidence principale. Il est octroyé sans aucune condition de ressources. On peut l’obtenir auprès d’un organisme financier ayant conclu un accord avec l’État. Voici quelques informations essentielles sur cette formule de prêt.

Qu’est-ce qu’un prêt conventionné et comment l’obtenir ?

Le prêt conventionné est un moyen de financement faisant partie de la catégorie des prêts aidés. Il est destiné aux primo-accédants ou aux foyers modestes désirant réaliser leur projet immobilier. Le prêt conventionné s’oppose au crédit classique. Pour cause, il donne droit à l’aide personnalisée au logement (APL). Cependant, toutes les banques ne peuvent pas accorder ce type de prêt. Seuls les établissements financiers ayant signé une convention avec l’État sont autorisés à le faire.

En outre, le prêt conventionné ne touche que quelques opérations immobilières. On peut utiliser la somme empruntée pour acheter ou construire un logement dans le neuf ou l’ancien. La somme est accordée s’il s’agit de la résidence principale de l’emprunteur. Le prêt permet aussi d’acquérir un terrain et d’y construire un logement. Pour cela, il faut que la construction soit terminée dans les 3 ans suivant l’acquisition du terrain.

Le prêt sert également à réaliser des travaux d’extension de la résidence principale.

Les caractéristiques du prêt conventionné

On peut financer l’intégralité du coût de l’opération avec le prêt conventionné. Cela comprend la charge foncière ou immobilière, les honoraires de négociation et les frais d’assurance. Il est possible que le terrain soit acquis d’environ 3 ans à la date de transmission de l’offre. De ce fait, on peut prendre en compte sa valeur dans le coût de l’opération. Il faut savoir que le montant du prêt conventionné est au moins 4 000 €.

Lorsqu’un prêt conventionné finance en partie une opération, celle-ci ne doit être cofinancée que certains types de prêts. Parmi ceux-ci, on peut citer le prêt à taux zéro, l’eco-ptz ou le prêt d’épargne logement. Il y a également le prêt relais ou encore le prêt fonctionnaire. Concernant la durée de remboursement du prêt, celle-ci est située entre 5 et 30 ans. Un allongement jusqu’à une durée de 35 ans peut être prévu selon le contrat de prêt.

Quelques informations à ne pas oublier

L’emprunteur peut choisir entre un prêt conventionné à taux fixe et à taux révisable. Il peut aussi recourir à un prêt mixte. Pour le taux révisable, celui-ci ne doit pas dépasser le taux maximum en vigueur. La modification de mensualité ou la révision du taux n’intervient qu’une seule fois par an. De plus, elle se fait à la première date anniversaire du jour d’approbation de l’offre.

On doit remettre gratuitement à l’emprunteur un nouveau tableau d’amortissement sur chaque révision. Le capital restant dû doit être inférieur au capital initial. En outre, la réglementation du prêt immobilier s’applique au remboursement anticipé d’un prêt conventionné. Cela veut dire qu’une indemnité de remboursement anticipé peut être prévue selon le contrat. Cette compensation ne doit pas excéder 3% du capital restant à payer. Par ailleurs, le prêt conventionné peut obtenir une réduction de frais de notaire.